Là est la question
La tristesse est souvent synonyme de mélancolie, d'inspiration.
Mais devons-nous être tristes pour écrire des textes réfléchis et profonds?
C'est dire que le bonheur nous rend irréfléchi?Je suis dans une période de grand bonheur. "Coeur qui soupire n'a pas ce qu'il désire" n'est pas du tout le proverbe du moment, enfin, pour moi. Mes soupirs embrassent la passion. Mon coeur palpite en admirant la neige briller sous la lueur de la lune, le soleil qui se lève me fait sourire à pleines dents. Mais bon suis-je déraisonnable et écervelée pour autant? Non, je ne crois pas. Mais l'inspiration me manque-t-elle? Oui, un peu. Je dirais que nous sommes beaucoup moins portés à partager nos bonheurs.La majorité des gens sent le besoin de faire des gribouillis de mots pour faire sortir le "méchant" pour partager leurs émotions plutôt négatives. Il est souvent beaucoup plus facile de coucher peines et colères sur papier. Les mots et leurs sons s'évadent de nous-mêmes beaucoup plus difficilement lorsque nous parlons, discutons de tous ces problèmes.. Pourtant certains, comme moi, apprécient simplement le fait d'écrire, peu importe le sujet, le moment. Mais sommes-nous aussi intéressants que dans les périodes sombres?! Mmmmm, là est la question.
Mais devons-nous être tristes pour écrire des textes réfléchis et profonds?
C'est dire que le bonheur nous rend irréfléchi?Je suis dans une période de grand bonheur. "Coeur qui soupire n'a pas ce qu'il désire" n'est pas du tout le proverbe du moment, enfin, pour moi. Mes soupirs embrassent la passion. Mon coeur palpite en admirant la neige briller sous la lueur de la lune, le soleil qui se lève me fait sourire à pleines dents. Mais bon suis-je déraisonnable et écervelée pour autant? Non, je ne crois pas. Mais l'inspiration me manque-t-elle? Oui, un peu. Je dirais que nous sommes beaucoup moins portés à partager nos bonheurs.La majorité des gens sent le besoin de faire des gribouillis de mots pour faire sortir le "méchant" pour partager leurs émotions plutôt négatives. Il est souvent beaucoup plus facile de coucher peines et colères sur papier. Les mots et leurs sons s'évadent de nous-mêmes beaucoup plus difficilement lorsque nous parlons, discutons de tous ces problèmes.. Pourtant certains, comme moi, apprécient simplement le fait d'écrire, peu importe le sujet, le moment. Mais sommes-nous aussi intéressants que dans les périodes sombres?! Mmmmm, là est la question.
posted by ~Erzulie~ @ 7:28 p.m.
1 Comments:
Je n'arrive pas à savoir si je suis d'accord ou pas d'accord avec toi. Quand j'ai lu ton message, j'avais l'impression d'avoir plein de choses à répondre. Mes maintenant que je dois écrire me voila sans mots.
Je te dirais donc ce qu'on pré-pensait d'autre pour nous. Nietzsche a été un des premiers qui a décrire deux formes d'art. L'art de la lumière d'Apollon et la l'art de l'ombre de Dionysos. Il y a dans sa la trace de l'Eros et du Thanatos de Freud. Chacun de nous avons ces deux pulsions en nous, la pulsion de vie et la pulsion de mort. L'une ne peut exister sans l'autre.
Seulement les personnes qui préfère la pulsion de mort, la tristesse et la mélancolie sont capables de se mettre plus en danger, d'aller plus loin dans la recherche. Il peuvent donc par là toucher à des choses plus profondes car ils sont prêt à mettre leur vie en jeu.
Bonne chance dans ta lutte contre les virus.
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